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Formation à l'étranger, fuite des cerveaux et bien-être national : Enjeux et paradoxes dans une perspective microéconomique
Pour étudier les migrations internationales de travailleurs qualifiés, nous construisons un modèle à deux pays : pays d’origine et pays d’accueil. Un étudiant du pays d’origine peut soit entreprendre des études locales, soit aller étudier à l’étranger où il a par la suite une certaine probabilité de...
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Published in: | Revue d'économie politique 2011, Vol.121 (2), p.233-257 |
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Main Authors: | , |
Format: | Article |
Language: | fre |
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Summary: | Pour étudier les migrations internationales de travailleurs qualifiés, nous construisons un modèle à deux pays : pays d’origine et pays d’accueil. Un étudiant du pays d’origine peut soit entreprendre des études locales, soit aller étudier à l’étranger où il a par la suite une certaine probabilité de trouver un travail qualifié. Son choix dépendra de ses capacités, de la qualité des systèmes éducatifs, du coût relatif des études et des conditions de fonctionnement du marché du travail dans les deux pays. La possibilité de migrer entraîne des changements dans le bien-être du pays d’origine que nous cherchons à évaluer. Nous envisageons également la possibilité que les autorités favorisent les études à l’étranger grâce à un système de bourses qui vont potentiellement accroître le bien-être national. |
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ISSN: | 0373-2630 2105-2883 2105-2883 |
DOI: | 10.3917/redp.212.0233 |